Frédéric De Braekeleer (Un chef à la maison) prépare les plats de ses clients chez eux. Une «Queue de bœuf et os à moelle» vientde s’ajouter à sa carte.
Source : L’avenir
Frédéric De Braekeleer (Un chef à la maison) prépare les plats de ses clients chez eux. Une «Queue de bœuf et os à moelle» vientde s’ajouter à sa carte.
Source : L’avenir
Pour clore sa quinzaine du goût, le Parc naturel des Plaines de l’Escaut a distingué produits locaux et préparations artisanales de son territoire. Un jury composé de professionnels, de consommateurs, d’enfants et de la presse a remis cette année uniquement des “saules” d’or et d’argent, c’est dire si la cuvée était bonne.
Source : Notele
Frédéric Debrakeleer de Péruwelz est coach culinaire et chef à domicile, récemment récompensé par un saule d’or au jury des fins gourmets du Parc naturel des plaines de l’Escaut, il nous propose une recette digne des plus grandes tables : filets de sole farcis aux morilles, sauce champenoise, fleurette de brocoli et purée de céleri rave à l’huile de truffes.
Découverte la lacto- fermentation : un procédé 100% naturel utilisé pour conserver les légumes .
Et pour la table, Marjorie Damien, décoratrice d’intérieur à Ath, décline la tendance « géométrique ».
Source : Notele
Dans le cadre de la Quinzaine du goût, organisée par le Parc Naturel des Plaines de l’Escaut, un concours culinaire était proposé.
«Dans ma catégorie (plats), j’ai reçu le 1er prix (le Saule d’Or) et ai aussi reçu le prix Spécial de la Presse toutes catégories confondues», nous explique Frédéric De Braekeleer, «chef à la maison». «Ma recette était la suivante: Parmentier de canard à la truffe, en croûte de pain d’épices aux herbes fraîches, jus déglacé au vinaigre de mûres, jeunes carottes caramélisées au miel de lavande et minis pleurotes juste snackées.»
Source : L’avenir
Frédéric De Braekeleer a bourlingué dans le monde entier, de la Guadeloupe à la Tunisie, de Tenerife à la Suisse. Il y a dix ans, c’est pourtant à Péruwelz qu’il a choisi de se fixer, puis de lancer son activité «un chef à la maison». Il offre désormais un service traiteur, mais cuisine aussi chez ses hôtes et propose même des animations culinaires aux invités. La cuisine, pour Frédéric De Braekeleer, rime surtout avec convivialité. «C’est ma maman qui m’a transmis le virus», se souvient-il. «Elle laissait toujours une place à table pour les personnes de passage et cuisinait en conséquence… C’est une très bonne cuisinière, je lui dois beaucoup», sourit-il.
source : NordEclair